✮ PRÉNOM :Gwennaël-Eve Alice - ouais c'est très long mais que voulez-vous !.✮ NOM :Levingston.✮ ÂGE :25 ans presque 26 ans✮ SIGNE ASTROLOGIQUE:Sagittaire.✮ ACTIVITÉ PROFESSIONNELLE :anciennement avocate & nouvellement secrétaire dans un cabinet de détective privé ✮ SITUATION AMOUREUSE :oulaaa !! c'est bien compliqué. On va dire en couple, mais ça reste compliqué✮ ORIENTATION SEXUELLE :hétérosexuelle.✮ TRAITS DE CARACTÈRE :aime la vie, la croque à pleine dents, ouverte d'esprit, aventurière, casse-cou, imprudente, qui peut être irresponsable aussi, impulsive, persuasive, talentueuse, énergique, sauvage, souriante, généreuse, protectrice, enfantine, rêveuse, têtue, jalouse, combattante, à l'écoute, maladroite. ✮ AIME : mes frères, la vie, l'aventure, la générosité, l'entre aide, l'amour, les enfants, les animaux, les dessins-animés, le cinéma, la musique, aider, partager, écouter, rire, ✮ AIME PAS :l'amour, pleurer, le chocolat, la peur, la douleur, le doute, l'injustice, la provocation, l'égoïsme, qu'on lui tienne tête. ✮ GROUPE :damoiselle.
when the fog rolls in
TU CROIS AU COUP DE FOUDRE ? ?Je pense effectivement au coup de foudre. Je pense aussi que c’est quelque chose de rare. Quand les gens disent qu’ils ont eu plusieurs fois le coup de foudre pour quelqu’un ce sont des menteurs. On ne peut pas avoir plusieurs fois un coup de foudre. C’est quelque chose qui n’arrive qu’une seule et unique fois. Et j’y crois oui. Enfantine et rêveuse comme je suis, je ne peux qu’y croire. Je reste néanmoins réaliste et j’ai appris à mes dépens que la vie n’est pas un conte de fée. Que les histoires ne se finissent pas « ils finirent heureux et eurent beaucoup d’enfant ». Non ça ne se finit jamais comme ça. Mais je veux y croire. Je crois au coup de foudre. A cette chose magique qui arrive par un simple regard. QUELLE EST LA CHOSE LA PLUS ROMANTIQUE POUR TOI ? : La chose la plus romantique. Oulla. Je dirais une déclaration d’amour dans un lieu insolite. Pas dans la maison ou l’appartement, pas dans un restaurant et dans un café. Non dans un lieu exceptionnel. Au sommet d’une falaise par exemple. Ou alors tout simplement offrir un enfant. Je crois que ça c’est romantique, quand deux personnes s’aiment plus que tout, mettent au monde le fruit de leur amour. Pour moi c’est romantique et c’est beau. Puis aussi un parterre de rose rouge – reflet de la passion – étalé dans toute la maison traçant un chemin vers l’infinité de l’amour qui unit ses deux personnes. QUE REPRESENTE LE MARIAGE SELON TOI ? J’ai beau être une grande romantique, folle des histoires d’amour. Adorant les mariages, participés au mariage. Etre la demoiselle d’honneur. Je ne veux pas me marier. Je pense que le mariage est juste un bout de papier qui lie deux personnes. Rien de plus. Je pense qu’on n’a pas besoin du mariage pour officialisé l’amour de deux personnes. Puis de nos jours la majorité des mariages finissent en divorce. Alors c’est de l’argent gaspillé pour rien. Mais j’avoue aussi de l’autre côté que j’aime y participer, mais ce n’est pas pour moi. C'EST QUOI TES PÉCHÉS MIGNONS ?Alors mes péchés mignons sont ; la pluie, les orages, la glace à ma pistache et à la fraise, les gâteau à la crème, les pizzas, sentir les feuilles d’automne s’effriter sous mes pieds nus, nager dans l’eau glacé, patiner, cuisiner, dessiner, jouer de la musique, les chaussures, les livres, voyager, faire du lèche vitrine, les activités culturelles, les abricots, les fraises, la crème fouettés. QUE PENSES TU DE MASSON GROVE ET SES HABITANTS ? J’apprécie beaucoup la ville et tout ce qui va avec. Donc les habitants. J’aime beaucoup. Je me plais ici. C’est mon chez moi tout simplement. Je ne sais pas quoi dire de plus. Ici c’est chez moi, je m’y sens bien. J’apprécie les habitants, la ville en elle-même. Je me plais ici tout simplement. COMMENT TE VOIS TU DANS DIX ANS ? : Dans dix ans, c’est bien trop loin. Je ne sais pas du tout. A vrai dire j’aime vivre au jour le jour. Vivre chaque seconde comme si elle était la dernière. Et à vrai dire j’évite de penser à l’avenir. A me projeter dans l’avenir. Je ne sais déjà pas de quoi demain sera fait, alors comment vous dire comment je me verrais dans dix ans, c’est impossible à dire. J’espère néanmoins dans une bonne situation. Avec des enfants pourquoi pas ? Mais là sur l’instant je ne peux guère donner un vrai point de vu. .
✮ PRÉNOM :Aurélie.✮ PSEUDO :Haribo .✮ ÂGE :je suis plus que majeur ^^.✮ RÉGION :PACA✮ OÙ AS TU CONNU BTL ? :ce très cher PRD ✮ COMMENTAIRES :très beauuuu (a).✮ AVATAR :Félicity Jones
Dernière édition par Gwennaël-Eve A. Levington le Dim 29 Juil - 12:21, édité 16 fois
J’étais assise sur cette chaise inconfortable en face de deux personnes. Deux personnes haut placées censé comprendre ce qui m’était passé par la tête. Cherchant à savoir pourquoi j’avais agis ainsi pour CE client.
« Je m’appelle Gwennaël-Eve Alice Levingston. J’ai vingt-quatre ans, dans quelques semaines j'aurais un an de plus et je viens d’une école prestigieuse de droit. »
Je les regardé noter dans leur calepin. Je détestais cette situation, je détestais être là. Je ne devrais pas être là. Non je n’aurais jamais dû me retrouver là. Je ne sais pas ce qu’il m’était passé par la tête. Quelle émotion, quel sentiment m’avait poussé à agir ainsi.
« Parlez-nous de votre famille. »
Ma famille. Ma famille n’avait rien à voir avec mon erreur, mes erreurs. J’avais toujours été intelligente, sérieuse et première de la classe. J’étais sortie première de l’école de droit, j’avais toujours fait la fierté de mes parents. Toujours.
« Je suis l’aîné de trois enfants. J’ai deux petits frères, que j’aime. Mes parents sont décédés récemment d’un accident de voiture. J’ai toujours été une très bonne fille, d’une bonne famille. J’ai toujours fait la fierté de mes parents, ainsi que mon plus petit frère. J’ai toujours été la première de ma classe. A présent j’habite chez mon petit frère, suite à ma mise à pied suite à mon erreur … en attendant la décision final. Votre décision final »
Une nouvelle fois je les vis noter dans ce foutue calepin, je donnerais beaucoup là, pour savoir ce qu’ils étaient en train de noter sur moi. C’était très frustrant d’assister à ça. La femme qui se trouvait à droite, releva ses lunettes sur son nez et sérieusement :
« Parlez-nous donc de cette erreur. »
J’étais frustrer, mal à l’aise. Je gigotais comme un asticot sur ma chaise. Pourquoi diable avais-je fait ça ?! Qu’est-ce qui m’avait dicté mon choix. Poussé.
« Monsieur Isaac Kenedy, a été attrapé pour trafic de drogue. Je fus désigné comme son avocate. Je l’ai défendu. Bien trop défendu. J’ai été trop loin envers le juge et envers l’avocat de la partie inverse. Je me suis laissé emporter. J’ai été vulgaire et mauvaise. Quelques jours après la sortie du tribunal, on m’a convoqué. Le juge n’avait guère apprécié que je le traite d’idiot sans cervelle et sans cœur apparemment. Finalement Isaac Kenedy s’en est sorti avec qu’avec des travaux d’intérêt généraux, aucune preuve réelle et jugeable était à la disposition. Et me voilà là aujourd’hui devant vous. Hésitante et impatience d’avoir votre verdict quant à mon sort ! »
Ils hochèrent la tête. Notèrent encore des choses dans leurs calepins. Prirent congés quelques instants auprès de moi. Partirent se réfugiés dans une pièce annexe. Me laissant seule dans cette salle obscure. Ils revinrent une heure plus tard, le regard sérieux.
« Notre verdict est le suivant : vous n’êtes plus autorisé à pratiquer le droit dans des tribunaux, à défendre des clients. Vous êtes démis de vos fonctions. Et votre diplôme annulé pour un temps indéterminé. Vos émotions, votre impulsivité ont joué en votre défaveur. Nous en sommes désolés, mais notre jugement est irrévocable. »
Je quittais cette pièce, les yeux pleins de larmes, menaçant de couler à chaque seconde. D’ailleurs une fois dehors, je fonçais vers les toilettes et je laissais mes larmes couler. Puis je rentrais chez mon frère. Je crois que je vais habiter longtemps chez lui. Mais la présence de mes frères, me rassuré et me conforté. Aujourd’hui tous les rôles étaient inversés. Je n’étais plus celle qui gagné le plus d’argent, non j’étais celle qui avait tout perdu. Et Roméo était celui qui avait tout gagné. Il méritait ce qu’il avait aujourd’hui. Au final il était peut-être le meilleur. Même si gamin il avait toujours été le « petit canard noir », au final il s’est avéré être le sauveur et celui qui avait obtenu les bonnes choses. Le décès de papa et maman m’avait affecté, bien trop affecté. Mais j’avais surmonté. Il fallait surmonter et continué à vivre, c’est ce qu’ils auraient voulus.
Il était dans les vingt et une heure quand je rentrais du boulot. Je m’étais trouvé un petit job de secrétaire dans un cabinet de détective privé. C’était tout ce que j’avais pu trouver. Et mes connaissances les arrangés bien. En montant les marches, je le découvrais là. Affalé contre le mur. Une bouteille de vodka en main. Je me précipitais sur lui. M’agenouillant près de lui. Il saigné au niveau du front, de la lèvre. Et ses mains étaient bleues et sanguinolente. Dans quoi s’était-il encore foutu ?
« ISAAC ! »
Ses yeux s’entrouvrirent. On était ensemble. On était censé être ensemble. C’est pour lui que j’ai perdu mon job d’avocate. C’est à cause de lui qu’aujourd’hui je joue les secrétaires. Parce que je l’aime. Je l’aime comme une folle. Je l’aime comme je n’ai jamais aimé personne d’autre. Notre amour à quelque chose d’exceptionnel. On ne se ressemble pas. Carrément pas. Et pourtant c’est lui que j’ai choisie. Que mon cœur à choisi. Je lui enlève la bouteille des mains.
« je suis désolé … pardon ! »
Je l’aide à se relever. Je le maintiens. Je rentre tant bien que mal dans la maison. Mes frères ne sont pas là. Tant mieux. J’emmène Isaac à la salle de bain. Je le mets dans la baignoire, tout habillé tant pis. J’allume l’eau. Laissant se liquide froid couler sur lui. Il ouvre les yeux. Alors que je suis assisse par terre, accoudé au rebord de la baignoire. Ses yeux croisent les miens. Isaac, ce mauvais garçon. Qui a réussi à affoler mon cœur. Sa main se pose sur ma joue. Un sourire léger se dessine sur mes lèvres, tandis que ma main attrape la sienne et l’enlève de ma joue, ce geste lui fait froncer les sourcils. J’éteins l’eau. Et j’attrape un gant pour panser ses blessures.
« Je… » « Je t’en prie ne dit rien ! » Les cinq minutes qui suivirent ce firent dans un silence des plus complet. J’allais dans l’armoire d’un de mes frères. Je pris un haut et un bas, que je donnais à Isaac. Avant de laisser là seul dans la salle de bain, dans un silence complet. Je rejoignis ma chambre, je me changeais. Et je m’allongeais dans mon lit. Dos à la porte. Quelques minutes plus tard, je sentis le lit s’affaisser. Et ses bras m’attiraient contre lui. Je me laissais faire. Je me retournais contre lui. Humant son odeur. Finissant par embrasser ses lèvres.
« Je t’aime autant que je déteste Isaac … tu le sais ça ? »
Ses mains caressèrent mes cheveux. Ses lèvres s’écrasèrent sur les miennes. Je me blottissais un peu plus contre lui. Comment avais-je pu tomber amoureuse d’un garçon comme lui. J’aurais dû tomber amoureuse d’un juge ou d’un avocat. Un être qui ne me détruirait pas. Et pourtant c’était Isaac que j’avais là près de moi, c’était dans ses bras que j’aimais être.
« Tu mérites tellement mieux mon ange. Et pourtant je t’aime. Je t’aime comme un fou. Je n’arrive pas à me résoudre à te quitter. Je ne peux me résoudre à te quitter. Même si pour toi ça serait cent fois mieux. Même si pour ton bien, c’est le choix que je dois faire … et pourtant je suis toujours là et je ne peux partir. Je n’y arrive pas. Tu es bien trop gravé en moi pour que je le puisse. Et pourtant pour toi il faut que je me résolve à partir ! ».
Des larmes salées perlèrent sur mes joues, qu’un coup de pouce de sa part, chassa. Je voulais qu’il parte. Pour qu’enfin je puisse respirer, que mon cœur ne s’affole plus comme ça. Mais d’un plus grand côté je souhaitais qu’il reste. J’aimais son amour. J’aimais comment il m’aimait.
« Reste ! »
Et il resta.
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« Mademoiselle Levingston ? ».
Je m’approchais du médecin qui venait de m’appeler. J’attendais avec angoisse les résultats de ma prise de sang et surtout de mon test.
« Vous êtes enceinte de quatre mois ! »
Je m’écroulais tout simplement. Non. Je ne pouvais pas être enceinte, pas maintenant.
Voilà une semaine que je sais que je suis enceinte et personne. Non personne ne le sait. Mais je me suis décidé à l’avouer. Il faut bien l’avouer. Il faut bien que ça se sache. Toute façon bientôt tout le monde le serra. Je commençais à grossir et à former ce ventre qui renfermé une vie.
Dernière édition par Gwennaël-Eve A. Levington le Dim 29 Juil - 13:49, édité 5 fois