kellen*Si respirer c'est la vie, combattre c'est plus que tous ...*

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Kellen James ✮Lewis

TU CROIS AU COUP DE FOUDRE ? ? Non je pense que c'est pour les doux rêveurs. Le courant passe où pas, il y a pas d’alchimie comme peuvent sortir les l'uns ou encore ces foudres qui vous entoures et que vous savez que c'est elle ou lui, comme d'autre. C'est tout simplement des foutaises, pour rassurer les plus possesifs d'entre nous QUELLE EST LA CHOSE LA PLUS ROMANTIQUE POUR TOI ? : En fait, je n'y ai pas réfléchi. Un verre en tête à tête dans un endroit branché peut être ...QUE REPRESENTE LE MARIAGE SELON TOI ? Des responsabilités et un engagement, où je ne suis pas sûr que ça me correspondent vraiment, peut être parce que je n'ai trouvé personne avec qui vraiment je puisse m'engagé. C'EST QUOI TES PÉCHÉS MIGNONS ? Les jolies femmes, ouai clichés ! Mais en même temps autant en profiter un peu. Enfin il a été fidèle à une période ou presque ... Une ou deux aventures dans un couple ça compte pas ? Une seule fois, et je l'ai regretté amèrement. Sinon ben je suis assez sportif, à vrai dire il le faut vu mon métier, tenir la forme est l'essentiel. Bien que comme tout personne, normalement constituer je suis un gourmand, cependant il faut se restreindre parfois. Faire quelques fois la fête, une occasion de faire des rencontres ou se défouler un peu. Le chocolat, les tatouages qui ont tous une significations sur lui. QUE PENSES TU DE MASSON GROVE ET SES HABITANTS ? Pour ce que j'ai vu, ça a l'air pas mal ! Sympathique, agréable, on est plutôt bien accueilli, ça pourrait être pire. Beaucoup d'endroit ne sont pas aussi accueillant ou enthousiasme. On peut se fondre assez facilement dans la masse. C'est touristique, la chaleur est présente, quoi demandait de plus ? On verra par la suite... COMMENT TE VOIS TU DANS DIX ANS ? : Toujours le même, charmant, irresponsable et à la retraite. Profitant de mes rentes sportifs.

Il est né à New York, oui la petite pomme comme on l'appelle si bien. En 1983, dans un quartier de Manhattan. Pour être exacte dans le sud de Manhattan, dans un petit hôpital de quartier. Il est né sous le nom de Kellen James Lewis, un long plus, on ne peut pas faire mieux et ça ne passe pas inaperçu. Il est fils unique, venant d'une famille aux revenus modeste, ils ne roulaient pas sur l'or, son père n'étant qu'un ouvrier moyen dans une usine de proximité et sa mère sans emploi, autant dire que les fins de mois étaient assez durs. Surtout depuis qu'il ramenait une bouche de plus à nourrir. Car ça ce n'était pas prévu. Disons que cela a vite assombrit leurs joies, d'une naissance. Autant dire que la vie sous ces aspects rêveurs et lumineux cache une partie assez sombre, ou le taux de chômage, la pauvreté des gens sont un élément majeur, dans cette ville, à vrai dire dans ce pays. Ou la couverture sociale est basée sur le minimum. On est du bon ou du mauvais côté, c'est le jeu de la vie.
Revenons à sa naissance, c’est la seule information intéressante au début de sa vie. Ce jour, où le petit bout de nez de Kellen James Lewis a vu le jour. Kellen parce que sa mère aimait bien le prénom, tout simplement, James était celui de son grand père parti beaucoup trop tôt, donc il n’aura jamais l’occasion de connaitre. Mais on lui aura parlé tant de lui, qui cette impression de manque, se dissipera par moment, rien qu’en pensant à la fierté qu’il a de porter son nom. Lewis était certainement ou déjà un petit signe du destin, dans son avenir, car c’était déjà un nom célèbre d’un boxeur populaire, à la carrière extraordinaire.

« Tu seras un grand homme, un jour mon fils !» Il aurait voulu l’entendre cette phrase dans la bouche de son père ou même de sa mère. Mais rien, à vrai dire, il n’y a eu aucune communication entre eux. Du moins avec sa mère ce n’était plus possible. A l’âge de sa cinquième année, elle est morte d’une maladie, le laissant seul avec ce père détruit par la mort de sa femme. Souvent il se souvient de son regard, de ce visage qui le hante parfois. Personne ne remplace une mère. Encore moins quand vous la perdez aussi jeune. Cet instinct maternel que tous ces camarades avaient, qu’il voyait transpirait à la sortie de l’école, ou quand il allait chez ces copains, il ne l’a jamais eu. Et il n’a pas eu sa présence paternelle pour autant, un pilier dans sa vie d’enfant et d’adolescence, la présence de mon père qui se faisait rare, même inexistant, se débrouillant pas lui-même. Occuper dans un bar, au travail ou se plonger dans les bras de fille assez faciles, qu’est ce qu’il en savait. Deux les deux avaient cet accord silencieux, qui stipulait « tu me poses pas de question, j’en ferai autant », chaque sa vie, son chemin. Quand il était jeune c’était ces voisins qui s’occupaient le plus souvent de lui. A l’âge de l’adolescence, disons qu’il était déjà assez grand pour s’occuper seul. C’est peut être cette vie qui a fait ce qu’il est aujourd’hui. Cette période, il l’a maudit et en parle rarement, l’effaçant délibérément de sa mémoire.
Pour échapper à cet enfer, il se souvient encore comment il a découvert la boxe. Un pote à lui, n’arrêtait pas de lui en parler, de lui montrer des actions de défense, comment donner des coups de poing sans se cassait un os des doigts. Sa curiosité avait été tout de suite éveillée. Les yeux titillant, il se voyait déjà sur le tapis entrain de sautiller, cachant son visage à toutes attaques. Il a donc suivi ces envies, il a passé quelques mois, a suivi les entrainements juniors, pour enfin s’inscrire dans un club. Déjà doué à 12ans, il a suivi son cursus scolaire plus son sport préféré. Un avantage parce que ne l’a pas changé durant sa jeune vie, il en a fait sa carrière. Parant assez vite de sa ville natale, pour faire des compétitions dans le pays entier.
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• « On s’est déjà croisés quelque part ? »Un air faussement amuser peut être, commençait à arborer sur son visage, en la regard fixement. « Ouais, dans un bar où j’ai fini à califourchon sur toi. C’est ta fiancée, j’adore son foulard. Je peux avoir le même ? » Sa voie se fit plus dur sur l'instant, que dire dans ces moments, à part avoir l'impression d'être pris aux pièges.« Qu’est-ce que tu veux ? Foutre ma vie en l’air ? » Elle sait approchée de lui avant de lui en mettre une. Ce qui le laissa amer et une certaine colère remonter à la surface. Jamais il ne c'était fait giflé, encore moins pas une gamine à ces yeux sur l'instant. « Je suis enceinte connard. Nos vies sont déjà foutues en l’air. » Ca aurait du être un électrochoc, ce qu'elle pensait être une bombe, n'était rien pour lui. Après tous, il c'était renseigné un peu sur elle, autant dire qu'elle n'était pas ce qu'elle prétendait être. Agacé par son comportement il haussa les épaules, l'air de s'en foutre. « T’as pas la réputation d’une enfant de cœur. Alors tu te démerdes. » Elle croyait sincèrement qu'il allait participé à l'éducation, ou rester à ces côtés jouait les pères modèles. tous plaquer juste pour elle, non certainement pas. c'était trop de responsabilités, même les menaces n'auront rien changés. Il était retournés auprès de sa fiancé de l'époque. Sans un regard pour elle.
  
  Deux ans, c’est ce qu’il c’était écoulé lors de leurs derniers conversations. S’il peut appeler ça une conversation. Il avait été un peu cru à l’époque, mais il n’avait pas apprécié la façon qu’elle était venu pour lui annoncer et encore comment elle lui avait parlé ! D’une nature franche et rancunière, un caractère fort, il n’avait pas pris des pincettes quitte à passer pour un enfoiré. Mais çà vrai dire, ça ne l’importe peu. D’ailleurs depuis ce fameux jour, il a perdu sa fiancé de l’époque. Apprenant la vérité sur cette relation en dehors de leur couple et surtout ce que ça avait engendrée. Un enfant, il en doutait vraiment, il savait qu’elle n’était pas totalement innocente. On en apprenait des choses de la bouche des gens. Il avait de quoi douté. C’est ce qui l’emmène ici, pour découvrir si c’est vraiment lui le père, test de paternité c’est la chose qu’il voit… Bien sûr il s’attend à quelques heurtes de la mère, la jeune femme dont il avait passé juste une seule nuit. Mais il ne compte pas partir sans avoir sa réponse. Qu’est ce qu’il fera après … à vrai dire même lui, ne le sait pas !