STANDING IN THE SUNLIGHT LAUGHING. (délai vendredi)

crédits : ladypierces.

bryce evan ✮ slywood

TU CROIS AU COUP DE FOUDRE ? ? Les papillons dans l’estomac, le cœur qui bat à mille à l’heure et ce sentiment d’être devant LA personne qu’il nous faut? Oui, je pense y croire. Mais de là à dire que je l’ai déjà vécu, c’est une autre histoire. Je ne crois cependant pas aux âmes soeurs. QUELLE EST LA CHOSE LA PLUS ROMANTIQUE POUR TOI ? : Une petite attention. Un petit geste, sans arrière-pensée, juste pour faire plaisir à celui ou celle qu’on aime. Rien qui en met plein la vue. Juste quelque chose de simple, ou d’intime, qui prouve son amour sans en faire « trop ». Un petit souper aux chandelles, un petit mot sur un post-it apposé sur un oreiller, une promenade en amoureux ou juste un petit baiser dans le cou, à la dérobée. Ce sont les petits gestes du genre qui sont selon moi les romantiques. QUE REPRESENTE LE MARIAGE SELON TOI ? Je n’accorde pas une réelle importance au mariage. Je ne suis pas de celles qui rêvent de leur mariage depuis leur enfance, qui ne pensent qu’au jour où elles seront vêtues comme une princesse au bras de leur prince charmant. Si je me marie un jour, tant mieux. Si je ne me marie jamais, ça me va tout autant. Après tout, si je suis certaine de mon amour et que celui avait qui je fais ma vie est certain du sien, c’est tout ce qui compte. À quoi bon faire une grande fête pour le prouver à tout le monde? Je trouve que le mariage, c'est souvent trop cher pour rien. Des dépenses inutiles. On dit souvent que le mariage est la plus grande promesse d’amour, mais je n’y crois pas vraiment. Si deux personnes s’aiment, c’est amplement suffisant. C'EST QUOI TES PÉCHÉS MIGNONS ? Je ne peux tout simplement pas résister à l’appel des viennoiseries fraîchement sorties du four. Qu’il s’agisse de croissants, de brioches, de chocolatines ou de chaussons, j’en raffole et je ne peux tout simplement pas m’en passer. Inutile de dire que c’est une réelle torture de ne pas en manger quand elles sont fraîchement faites au boulot et qu’elles ne sont destinées qu’aux clients du café! J’adore également marcher pieds nus. Je crois en fait que je suis plus souvent pieds nus qu’autre chose. J’adore la sensation du sable mouillé ou encore de l’herbe entre mes orteils. Ou encore la chaleur cuisante du sol surplombé par un chaud soleil d’été me brûlant la plante des pieds. Je me délecte aussi des soirées d’orage. J’adore en écouter le son, et regarder les éclairs zigzaguer, se frayant un chemin à travers le ciel. Je ne suis pas une personne très sportive, mais je trouve le jogging du matin exaltant. J’aime me lever très tôt, aux petites heures du matin, pour aller courir, les écouteurs de mon iphone aux oreilles. Il n’y a rien de mieux que le sentiment de m’être dépassée en m’abandonnant complètement à mon jogging matinal! C’est selon moi une excellente façon de débuter ma journée, et depuis que j’ai commencé à me lever tôt pour courir, je ne m’imagine pas arrêter. QUE PENSES TU DE MASSON GROVE ET SES HABITANTS ? J’aime beaucoup Masson Grove et ses habitants. Il faut dire que j’ai vu le jour dans ce petit coin et que j’y ai vécu toute ma vie, donc je n’ai aucune référence de comparaison. Mais je peux aisément dire que je me plais à Masson Grove et que c’est un endroit facile à vivre, pour la plupart du temps, avec un voisinage charmant et agréable. Bien que je me sente bien dans ma ville natale, j’ai par contre l’âme d’une globe-trotteur et je rêve de pouvoir voyager à travers le monde, pour voir les autres pays qui nous entourent. COMMENT TE VOIS TU DANS DIX ANS ? : Ce n’est pas une question à laquelle je me suis attardée parle passé, étant une fille qui vit dans le moment présent. À cet instant, j’ai mon indépendance; un petit boulot que j’aime, ma voiture et mon appartement. J’ai mon chien, mes amis. Une petite vie bien simple, et j’ai ça comme ça. Alors dans dix ans? Je ne sais pas du tout, je me vois pareille, la même Bryce, avec le même chien, les mêmes amis, idéalement. Avec une maison, peut-être, et un petit ami. Peut-être même mariée, qui sait. Même si le mariage ne ferait pas du tout partie de mon « plan de match », si j’en avais un. J’ose espérer que je ne serais plus serveuse au Kennedy’s Café – j’aime mon emploi, dans le moment, mais j’espère trouver le temps, ou la motivation, pour aller étudier dans une filière qui me passionne. Avec un peu de chance, je serai l’une des plus réputées zoologistes du pays. Ou je serai fleuriste, qui peut prédire. Chose certaine, je n’aurai pas changée, pas tellement. Je serai la même Bryce, juste plus vielle, avec quelques rides en plus.

✮ PRÉNOM : X. ✮ PSEUDO : Brain Damage, Bee. ✮ ÂGE : 21 ans. ✮ RÉGION : Canada. ✮ OÙ AS TU CONNU BTL ? : Par une vieille branche, Dougie (Mareva sur le forum). ✮ COMMENTAIRES : Votre forum est magnifique et j'adore le boulot fourni sur les pvs. ✮ AVATAR : Candice Accola.

i've got you in my sights @ KENNEDY’S CAFE ◄ WITH SANDRO. -------------------------------------------

C’est toujours avec la même assurance et le même entrain qu’elle s’approche de ses clients. Avec ses boucles blondes, ses yeux pétillants et son large sourire radieux, elle en est presqu’agaçante. Bryce s’arrêta à la hauteur du jeune homme, plutôt mignon – elle le remarqua aussitôt, assis à la table #6. Pile dans sa zone de service. Calepin et stylo en main, sourire scotché aux lèvres, elle entame avec aplomb son habituelle entrée en matière. "Bonjour, je suis Bryce, est-ce que je te sers quelque chose? Café, thé... Je peux aussi te proposer une brioche au sucre, elles viennent tout juste de sortir du four. Un vrai délice, si tu veux mon avis!" Parler un peu trop, et trop familièrement, c’est tout à fait Bryce. Mais on disait souvent que c’était ce qui faisait d’elle l’une des meilleures serveuses du Kennedy’s Café. Sa simplicité et sa bonne humeur était comme un vent de fraîcheur. Le jeune homme en question leva les yeux sur elle, leurs regards se croisèrent et elle se sentie rougir. Un rapide regard autour d'elle suffit pour la tirer de son soudain embarras, alors qu'il lui répond, tout aussi souriant. C'est une bonne chose, se dit-elle, au moins, elle ne lui a pas fait prendre peur. "Je crois que je vais me laisser tenter par une brioche! Avec un café, s'il te plait." Bryce échangea un regard complice avec le jeune homme. Elle avait l'impression qu'il l'observait, la regardant plutôt intensément. Se disant qu'elle fabulait tout simplement, elle répliqua sur un ton enjoué "Tu ne regretteras pas ton choix, promis. Tu as en face de toi une grande connaisseuse en matière de pâtisseries!" Nouveau sourire complice. Habituellement beaucoup plus timide face à la gente masculine, elle faisait preuve d'une certaine assurance, dissimulant avec brio sa timidité. – ou presque. Entrant dans sa plaisanterie, il rétorqua presque immédiatement; "Je vous fais tout à fait confiance, mademoiselle Bryce!" Le tout accompagné d’un sourire des plus charmants, qui ne manqua pas de faire craquer la serveuse. Elle sentie une nouvelle fois le rouge lui monter aux joues. Il surenchérit immédiatement, sans la quitter des yeux "Je suis Sandro!" Pour une raison qu’elle ignorait, Bryce ne pouvait tout simplement plus cesser sourire et surtout, elle ne pouvait cesser de le regarder. Quelque chose chez lui était hypnotisant et ça l’intimidait, tout en la déstabilisant. En se mordillant la lèvre inférieure, la blonde hocha lentement la tête, ne pouvant plus masquer sa timidité plus longtemps. Elle répliqua tout de même, rieuse "Et bien, Sandro, je reviens immédiatement avec ta commande!" Elle tourna rapidement les talons, dans un tourbillon de cheveux blonds. Elle se faufila entre ses collègues et d’autres clients pour se rendre au comptoir, sans se rendre compte du regard de Sandro qui était toujours posé sur elle. (...) Son tablier accroché aux hanches, ses cheveux blonds attachés en un haut chignon lâche ainsi que crayon et calepin en main, Bryce était fin prête à entamer sa journée de travail. Elle sonda le café, faisant le tour de la place d’un bref coup d’œil puis elle se dirigea vers la table #3. Bien que fatiguée, elle en était à sa sixième journée d’affilée, elle ne le laissait pas paraître, affichant un sourire rayonnant. Une fois le contact fait avec ses premiers clients de la journée, le reste de l’avant-midi fila à vive allure, les tables à servir s’enchaînant une derrière l’autre, ne lui laissant pas la moindre seconde de répit. Bien qu’offrant son habituel service de qualité, Bryce n’en demeurait pas moins distraite. La raison de son inattention? Le beau client de la vielle, à qui elle ne cessait de penser bien malgré elle. Quelque chose chez lui l’avait marquée, mais elle n’arrivait pas à dire quoi. Son sourire charmeur, peut-être? Ou était-ce plutôt la lueur espiègle dans son regard? Elle ne saurait dire, mais chose certaine, elle n’arrivait pas à se le sortir de la tête. Quelle ne fut pas sa surprise quand elle constata qu’il était une fois de plus dans le café, tout au fond de la salle. Elle nota l’appareil photo qu’il avait sous le bras, mais n’y accorda la moindre attention, vaquant à ses occupations. On la réclamait à la table #4. Ce ne fut qu’après de longues minutes que Bryce constata que Sandro pointait l’objectif de son appareil photo sur nulle autre qu’elle. Aux premiers abords complètement intimidée, elle détourna vivement la tête. Elle tenta de se convaincre que ce n’était qu’une coïncidence, mais elle se rendit à l’évidence; il prenait bel et bien des clichés d’elle. S’il se croyait distrait, il se trompait! Essayant en vain de ne pas se laisser intimider, elle poursuivit sa tournée des tables, tentant tant bien que mal d’ignorer l’objectif de Sandro, qu’elle sentait rivé sur elle. Tout en servant les clients, la blonde ne pouvait s’empêcher de se poser une foule de questions quant aux intentions de Sandro, qui ne semblait pas se lasser d’immortaliser le moindre de ses faits et gestes à l’aide de son appareil. Et en faire fi était tâche absolument impossible. Quand son heure de pause arriva enfin, Bryce s’éclipsa dans la salle des employés pour en ressortir immédiatement, se dirigeant avec une fausse assurance vers la table de Sandro, qui n’abaissa pas son appareil, à sa grande surprise. Une fois arrivée à sa hauteur, elle se laissa tomber sur la chaise devant lui, sans même y avoir été invitée. Elle ne savait pas trop ce qu’elle faisait en sentait le rouge teinter ses joues, tout comme ça avait été le cas la veille. "Tu sais, je ne pose pas comme modèle gratuitement!", lança-t-elle à la blague, dans un sourire en coin. Sa nervosité était palpable, mais elle sentit le stress tomber quand Sandro lui renvoya un sourire. Ce sourire qui la faisait tant craquer. Quelque chose lui disait que ce n'était pas la dernière fois qu'elle le verrait, loin de là.
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girl you need a change of mind @ HER FOLKS' HOUSE ◄ WITH MR & MRS. SLYWOOD. -------------------------------------------

Bryce empoigna les ustensiles de services pour se reprendre une portion de salade, prétextant ne pas avoir entendu la question de sa mère. Dans une brève œillade à l’intention de son père, elle l’implora de changer de sujet, dans un singulier haussement de sourcils. Il se racla la gorge, se frottant le nez comme il le faisait chaque fois qu’il était inconfortable, et s’apprêta à prendre la parole, avant de se faire devancer par sa femme. "Bryce, chérie?" Elle fit un effort surhumain pour ne pas lever les yeux au ciel au rappel de sa mère, puis força un sourire, balayant la question du revers de la main. "Maman je t'ai dit mille fois que Sandro n'est qu'un ami. a-m-i. Rien de plus. Alors non, je ne compte pas l'inviter bientôt pour vous le présenter." Sans oser lever le regard vers sa mère, évitant ainsi de croiser la déception dans ses yeux, Bryce picocha une feuille de laitue avec sa fourchette. Avant que sa mère ne puisse protester, elle ajouta. "De toute façon, vous connaissant tous les deux, vous ne feriez que le mettre mal à l'aise. Ce serait votre genre de lui demander quand il projette me demander en mariage." Ce fut au tour de sa mère de masquer son découragement. Elle secoua la tête, haussant les épaules devant les accusations de sa fille. Un sourire perça néanmoins aux coins de ses lèvres. Elle connaissait tellement bien sa fille, elle aurait beau le lui dire trois millions de fois, elle ne pourrait pas la convaincre que Sandro n’était qu’un ami. "Qui a parlé de mariage. Je n’ai pas parlé de mariage, ni ton père. Nous sommes simplement curieux de rencontrer le fameux Sandro de qui tu nous parles tout le temps." Bryce se renfrogna, le menton au creux de sa paume, une moue aux lèvres. Elle protesta dans un marmonnent à peine audible. "Je ne parle pas tout le temps de lui." Il lui aurait fallu être aveugle pour ne pas se rendre compte du regard qu’échangèrent ses parents, silencieux. Elle fit tourner sa fourchette entre ses doigts, puis la déposa. Pourquoi est-ce que ses parents tenaient tellement à ce qu’elle ait quelqu’un dans sa vie. Ça en devenait agaçant, même que ça frôlait l’obsession. Ils prétendaient savoir ce qu’il y avait de mieux pour elle et surtout, il pensait savoir ce qui se passait dans sa tête. Ce qui était loin d’être le cas. Son père soupira, puis posa ses yeux sur elle, la regardant à travers ses ridicules lunettes. Pas tout le temps. Mais souvent. Donc tu comprends pourquoi on a pu penser qu’il y avait peut-être... plus. Elle ne put contenir un soupir, puis leva les yeux au ciel. Bryce n’avait pas tendance à s’emporter ou à être sèche, surtout pas avec ses parents, mais ils commençaient sérieusement à l’agacer. Elle pinça les lèvres, secouant ses boucles blondes, visiblement contrariée. "Et bien non. Il n’y a pas plus. C’est rien, c’est rien du tout. Est-ce qu’on peut manger?" Elle ignora les nouveaux regards échangés entre ses parents, se concentrant sur le contenu de son assiette. Admettre qu’ils avaient raison et qu’il y avait peut-être quelque chose entre Sandro et elle? Avouer qu’elle l’appréciait plus qu’elle ne voulait le dire? Non merci. Elle préférait encore nier et bougonner dans son coin. Un long silence s'installa. On n'entendait plus que le tintement des ustensiles contre la porcelaine des assiettes. Après un moment, sa mère, comme si elle n’en avait pas déjà fait assez pour alourdir l’ambiance, brisa le silence avec une nouvelle question qui ne fit qu’irriter Bryce davantage. "Ma chérie, est-ce que c'est à cause de Theo?" Encore. Il fallait toujours qu’elle parle de Theo. Depuis leur rupture, elle blâmait tout sur lui. Son père la regarda, un air compatissant dans les yeux, mais il ne s’interposa pas. Bryce bouillonnait intérieurement, mais ne le laissa pas paraître, tentant du mieux qu’elle le pouvait de garder son calme. Elle leva les yeux sur sa mère, l’interrogeant du regard. "Pourquoi?" Question qui n'attendait certainement pas de réponse et qui précédait évidemment une suite de reproches. "Pourquoi est ce que tu dois toujours remettre Theo sur le tapis? Qu'est-ce qu'il vient faire là dedans!? C'était il y a deux ans, maman. Arrêtes de tout blâmer sur lui. Je suis passée à autre chose. Tu devrais toi aussi passer par dessus cette histoire, et arrêter de me parler de lui toutes les fois ou tu veux me reprocher de ne toujours pas être en couple. Ça n'a pas marché avec Theo, je croyais qu'il était le bon, mais il ne l'était pas. Point. Fin de l'histoire. Inutile d'en faire un drame en trois actes." Elle se sentait coupable de tout déballer si sèchement à sa mère, qui après tout ne se faisait que du souci pour elle. Elle voulait le meilleur pour elle, et c’est en l’attaquant qu’elle la remerciait. Mais Bryce était trop contrariée pour se rendre compte qu’elle était un peu dure avec ses parents. "Donc non. Ce n'est pas à cause de lui que je ne suis pas avec Sandro. Mais parce que c'est un ami... Ce que je vous ai dit au moins dix mille fois." Le ton de Bryce indiquait clairement que la conversation se terminait là, et qu’il était temps de changer de sujet. Ou de passer au dessert. Sa mère posa sa main sur la sienne, les sourcils légèrement froncés. Il était évident que la répartie de sa fille l’avait bousculée. "Désolée, Bryce. Je ne veux simplement pas que tu t’empêches d’être heureuse à cause du passé. Je ne voudrais pas que tu passes à côté d’une belle opportunité juste parce que le dernier que tu as laissé entrer dans ta vie t’a brisé le cœur, tu comprends." Mal à l’aise, son père se leva pour ramasser la vaisselle maintenant vide et s’éclipsa dans la cuisine. Il savait que sa rupture avec Theo était un sujet encore sensible. Elle était passée à autre chose, mais sa mère n’avait pas tort. Même si elle essayait de convaincre tout le monde du contraire, Bryce s’empêchait de de réengager avec quelqu’un depuis Theo. Leur histoire était tout ce qu’il y avait de plus parfait. Elle était folle de lui, et lui aussi. Ou du moins, il l’était avant de se lasser. Peu après qu’ils aient emménagés ensemble dans leur premier appartement, il avait pris peur de la tournure plus sérieuse de leur relation. Il l’avait ensuite trompée, sans doute par esprit de contradiction, pour ensuite rompre avec elle, sans explication valable. Encore à ce jour Bryce n’arrivait pas à comprendre ce qui s’était passé. Elle avait beau être passée par-dessus leur histoire, elle avait peur. Peur que la même chose se reproduise à nouveau. Sa mère avait raison sur toute la ligne, mais elle ne pouvait se résoudre à l’accepter. Nier était plus facile. Ainsi, elle força un pâle sourire à l’intention de sa mère, puis serra sa main. Elle lui murmura un inaudible merci, juste comme son père refaisait son entrée avec le dessert, du gâteau au fromage, son favori. Elle frappa dans ses mains, les yeux pétillants. "Mmmmh! Je veux le plus gros morceau!", indiqua-t-elle à son père, rieuse. Le rire de son père, puis celui de sa mère, s'unirent au sien. Et juste comme ça, le précédent incident était derrière eux.
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